Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (13)

Après la nuit que je viens de passer, ce petit déjeuner pris en commun est le bienvenu. Nous sommes obligés de quitter Alain et Odile ayant une obligation.

Je dépose Véronique chez elle, car elle doit régler quelques affaires après sa séparation. Nous retournons retrouver Virginie à Chennevières.
En arrivant nous la trouvons au fond de son lit avec une fièvre carabinée.

• Où as-tu le numéro de téléphone de ton médecin ?

Je l’appelle, il va passer avant de la fin de matinée.

Il passe à l’heure prévue, il diagnostique une grippe carabinée, je lui signale que nous revenons de Russie où la chaleur était suffocante.
Il pense que le passage dans l’avion climatisé au sol français surchauffé a eu raison des forces de notre amie.
Il lui impose trois jours de lit, il repassera dans deux jours pour voir son évolution. Anne me conduit à la pharmacie du quartier pour acheter les médicaments.
Virginies soignés, nous la laissons se reposer.
Ma petite poupée somme contente de nous retrouver seules.
Je m’installe sur un transat près de la piscine. Anne vient se blottir dans mes bras.

• Raconte-moi tes soirées chez Odile et Alain !
• Après le travail mercredi, on est allé chez Odile comme prévu. Alain nous a reçus et nous avons passé une soirée sympathique. Au moment d’aller nous coucher, nous avons lit un bain tous les trois.
Sans qu’on le touche Alain bandait !
Je l’ai pris en bouche pendant qu’Odile pénétrait ma chatte avec deux doigts. Nous avons rejoint le lit et nous avons fait l’amour. Alain nous a donné du plaisir chacune notre tour en levrette. Ma petite chatte était en feu et plus, il m’enfilait, plus j’avais envie qu’il m’enfile.
Nous avons bu son foutre Odile et moi avec délectation.
Nous allions tous au travail le lendemain, je me suis endormi au milieu de nos deux amis.
La journée s’est passée sans incident.

Nous avons retrouvé notre nid.
Comme pour Véronique hier au soir, après avoir fait monter la chaleur dans mon ventre, ils m’ont proposé d’accepter de devenir leur esclave.
J’avais tellement hâte d’avoir le sexe d’Alain en moi, que j’ai accepté.
Tu connais le scénario, d’un coup l’homme était là.
Dans l’état d’excitation où ils m’avaient mise, j’étais prête à accepter tout ce qu’ils me proposeraient. Je me suis entendu leur dire, oui.
L’homme m’a tendrement pénétré jusqu'à ce que ses boules viennent se frotter à ma chatte.
Je dois t’avouer que j’ai pris un plaisir phénoménal.
Lorsqu’il a éjaculé, j’ai bu le jus de l’homme jusqu'à la dernière goutte.
Le scénario était tellement crédible que le sperme que j’ai avalé était très différent de celui que j’avais bu la veille alors que c’était le même.
Comme Véronique, lorsque j’ai pris conscience qu’aucun homme autre qu’Alain avait pénétré ma chatte et mon cul j’étais incrédule et toujours persuadé qu’il était venu et reparti. Tu peux comprendre, comment je me suis senti redevable envers nos deux amis.
• Je comprends surtout que tu te sois envoyé en l’air et tu as bien fait.
• Oui, bien sûr, le soir après le travail Odile m’a emmenée faire les boutiques de vêtements chics prêts d’ici. Elle m’a expliqué que tu l’avais chargée d’honorer le cadeau promis dimanche dernier de changer ma garde-robe pour que j’apparaisse plus tendance.
Nous avons fait de nombreuses boutiques et nous avons choisi un grand nombre d’effets tous plus beaux les uns que les autres.
Heureusement que le matin, nous étions venues en voiture, les sacs remplissaient la banquette arrière. Tu as pu le constater lorsque nous sommes revenus ici, nous avons été obligés d’en laisser un grand nombre cher nos amis.
Arrivé chez eux, Odile m’a demandé de mettre l’une des tenues sexy. Chemisier blanc transparent laissant voir mes aréoles très foncées comme tu le sais mon cœur. Mini rose qui me cachait tout juste le sexe.

Sexe qui comme vous le voulez toute, j’ai laissé à l’air libre.
J’étais donc sans petite culotte, mais avec des bottes cuissardes de même couleur que ma mini ainsi qu’un petit sac du même cuir que les bottes.
L’ensemble est toujours chez eux, je le ramènerais la prochaine fois. Odile elle aussi était habillée avec une tenue provocante, tout en cuir noir qui lui collait au corps comme une seconde peau.
Alain nous a emmenés dans un restaurant situé dans le 1ère arrondissement. Il était fier d’entrer avec à chaque bras deux jolies filles dans l’établissement.
Tous les regards se sont tournés vers nous. Lorsque je me suis assise, j’ai eu beau faire attention, la mini est légèrement remontée et un client bien placés, a admiré ma fente.
Tu sais mon amour, moi qui vivais en refusant les hommes et qui me satisfaisais de vivre dans la villa de Virginie, depuis que tu es arrivé près de moi la vie, c’est accélérer à un point que j’ai encore du mal à l’imaginer.
Le repas s’est déroulé dans la bonne humeur. Odile faisait fureur avec sa tenue provocante. Elle a remarqué les mouvements d’un homme placé face à nous. Il essayait désespérément de voir sous notre table.
Elle m’a donné un ordre.
• Mon cœur ouvre tes cuisses pour faire plaisir au monsieur !
• Tout en suivant l’ordre d’Odile, je fixais mon mateur et je desserrais lentement mes cuisses. J’ai senti l’air frais caresser ma minette. J’ai cru que l’homme face à moi allait défaillir, sa femme qui ne pouvait voir mon manège s’est inquiétée des rougeurs de son visage. Jusqu’à la fin du repas Odile m’a donné ordre de rester les cuisses ouvertes.
Lorsque je me suis levé, j’ai vu la déception sur son visage, mais Alain avait d’autres projets, nous avons rejoint la rue Thérèse dans le même arrondissement à deux pas de là. Arrivé devant une porte avec un Juda grillagé, et une simple sonnette, il a appuyé et nous sommes entrés dans un lieu étrange entièrement tapissé de couleur rouge et à la lumière tamisée.

Une jolie femme s’est avancée et a enlacé Alain puis Odile me faisant voir qu’ils avaient leur entrée dans ces lieux.
Alain m’a présenté,

• Anne, notre petite amie qui aime participer à nos jeux érotiques.
Anne, je te présente Martine, la responsable de l’établissement.
Odile dit à notre amie que si elle aime le sexe, ici elle sera servie.
J’espère qu’elle aime aussi les femmes, car j’entends bien la retrouver avant la fin de la nuit.

Martine porte une tenue en disant long sur ses tendances, guêpière les seins nus, porte-jarretelles, bas résille sans culotte laissant voir une chatte à la pilosité noire très fournie.

• Alain, je vous laisse aller, tu connais la maison. Odile soit comme toutes les fois la reine de notre soirée. Je vous rejoins dans quelques minutes. Anne attend moi, je t’aime déjà.

Alain nous emmène dans une salle avec un grand bar où des couples boivent un verre. Nous en faisons de même et je constate que de temps en temps, les couples passent le rideau. Martine arrive et me prend par la main, nous le franchissons.
Elle m’entraîne le long d’un couloir et me fait pénétrer dans un petit boudoir.
Elle me prend immédiatement la bouche. Plaque sa main sur ma vulve et me dit dans un souffle.

• Il y a bien longtemps qu’une jolie fille comme toi avaient éveillé mes envies. Je sens que tu vas me donner le plaisir qui me fuit depuis des semaines.
Elle m’allonge sur la banquette, seul meuble dans la pièce. Elle me lèche directement goulûment ma petite grotte. Sans enlever ses lèvres, elle pivote et place sa chatte au-dessus de ma bouche. Je savoure cette femme qu’il y a encore trente minutes, était une inconnue.
Un homme nu queue bandé s’avancer vers nous. Elle le rembarre vertement, comment ce mâle a l’outrecuidance de vouloir lui souffler sa petite poupée.
Elle me taraude la chatte avec sa langue. Fidèle à mon habitude, je lui introduis directement le bout de mes cinq doigts dans sa fente.
Je les fais tourner quelques minutes puis d’un coup j’avance ma main qui pénètre comme j’aime le faire jusqu’au poignet.
Je force un peu, ça passe. Cette belle femme est embrochée par ma main. Je profite de mon avantage et l’ouvre, les cris qui sortent de sa gorge doivent s’entendre jusqu’au bout de l’établissement. Je retire ma main délicatement, mais le retour hors de sa chatte du poignet lui arrache une dernière jouissance.
Je remplace ma main par mes lèvres et je récupère tout le suc qui sort de sa fente refermée. Elle se redresse et le regard agare me lance.

• Eh bien, toi, tu es plutôt surprenante. Je vois arriver un petit brin de femme dans une tenue plus que sexy.
J’étais sûr de te croquer avant la fin de la soirée et c’est toi qui deviens la reine de l’établissement.
Beaucoup de jolies filles ont essayé de me donner du plaisir, souvent sans succès et en quelques minutes, tu me donnes tout ce que je cherche.
Je suis obligé de te quitter, j’ai des obligations auprès de tous mes invités.
Je reviens dans le couloir et je cherche mes amis. Je les retrouve dans une salle plus grande où le centre de la pièce est une estrade tournante très lentement.
Sur cette estrade Odile est placée en levrette.
Tout autour du plateau des hommes nus bandes.
Chaque fois que le sexe d’Odile passe devant eux, ils l’emmanchent lime deux trois coups et sont expulsés. Le suivant fait de même et ainsi de suite. Odile au bout de quelques pénétrations veules son plaisir.
Alain pendant ce temps prend une grande brune assez âgée tout en gardant un œil sur ce qui se passe sur l’estrade.
À leurs côtés, un homme est assis. Il tient la main de cette femme, son visage est rivé sur la verge d’Alain qui entre et sort de cette femelle.
Plus tard Alain m’explique que le monsieur est le mari de la dame, qu’il ne peut prendre son plaisir qu’en la regardant se faire défoncer par des bites inconnues.
Je rejoins Odile sur le tourniquet. Je me place à son opposée tête contre tête. Croupe offerte.
• Tu es là ma biche, profite bien de ces moments délicieux, de ces membres qui entrent et sortent de ta vulve sans jamais s’arrêter.

Un deux, trois, j’arrête de compter, ma chatte au bout d’un temps qui m’échappe se met à jouir. Je sens qu’elle a quitté mon corps et est devenue autonome dans ma jouissance. Un à un nous épuisons nos étalons. Nos chattes sont remplies de sperme qui dégouline le long de nos jambes.
Le lendemain Alain nous dira qu’il voyait que, lorsqu’un homme était cuit, un autre arrivait pour prendre sa place. Après un certain nombre, il a arrêté de compter, il lui était impossible de suivre.
Martine est arrivée près de nous. Elle a arrêté le plateau et nous nous sommes écroulées épuisées et repues.
Nous quittons ce lieu après avoir embrassé Martine qui me demande de revenir rapidement pour lui redonner autant de plaisir.
Nous avons regagné Montrouge où nous nous sommes endormis.

• Chérie, si je te comprends bien, tu as passé ces quatre jours à me tromper avec tous ce qui te passaient à portée de ta petite chatte ?
• J’ai honte, mon amour, mais je crois me souvenir que tu m’as dit que tu voulais que je vive ma vie sans trop m’attacher à toi.
• Mais oui, petit cœur, je te fais marcher. Éclate-toi, je suis toujours contente de ton émancipation.

Anne se lève et comme sa fille lui manque, elle me quitte pour retourner la voir.
Je la comprends, je la conduis jusqu’à la porte du jardin et la regarde partir le cœur gros. Que je l’aime…

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